Les causes de la maladie
Selon les connaissances que j’ai acquises, et selon mon expérience personnelle de la maladie, il y a deux éléments pouvant causer une pathologie :
- Les facteurs externes : les conditions climatiques, les accidents, ...
- Les facteurs internes : les émotions, les traumatismes, ...
Facteurs externes
La médecine occidentale gère parfaitement bien aujourd’hui les facteurs externes. Même si nous sommes sollicités pour accompagner le traitement proposé, notamment en appliquant correctement les soins ou en pratiquant la rééducation nécessaire, il n’est pas réellement utile de réfléchir à la cause du facteur déclenchant, si ce n’est en s’attachant à améliorer ce que l’on appelle le « terrain » en adaptant ou en corrigeant son hygiène de vie.
Facteurs internes
En ce qui concerne les pathologies causées par des facteurs internes, et notamment, les pathologies dites chroniques, il est important d’intervenir soi-même sur le chemin vers la guérison.
La médecine va s’attacher à traiter les symptômes, de façon à préserver nos fonctions vitales dans le meilleur état possible, et cela est primordial.
Mais souvent les causes exactes de la survenue de ce type de pathologie est inconnue.
On parle alors de maladie idiopathique, et/ou d’origines multi-factorielles.
Il existe aujourd’hui différentes techniques permettant d’être accompagnés sur le chemin de guérison, et chacun ressentira ou non le besoin d’être aidé par ces techniques, un peu plus ou un peu moins, en fonction du moment, en fonction de son état et de sa sensibilité. Il est important de réaliser que nous sommes libres de choisir de parcourir ou non ce chemin, et de choisir de quelle manière et en compagnie de qui nous en parcourerons un petit bout, ou un plus grand.
A l’heure où les médecines alternatives et/ou complémentaires sont légions, et les thérapeutes pas toujours avertis, il est important d’expliquer votre choix de parcours au médecin qui vous suit. Cela vous garantit un suivi avisé, et un traitement adapté.
Exemple de décodage d’une maladie chronique : la spondylarthrite ankylosante